Les travaux réalisés ces dernières années ont permis de sécuriser l’accès au jardin de rocaille, restaurer le cheminement occidental, consolider le belvédère, pérenniser les structures qui menaçaient de s’effondrer… mais il reste beaucoup à faire.
Un diagnostic par des architectes du Patrimoine a permis de déterminer les travaux nécessaires pour chaque zone, pour chaque grotte et chapelle, en fonction de l’état de dégradation. Il en ressort l’urgence de lancer des projets de restauration prioritaires sur plusieurs parties du jardin de rocaille, notamment les chapelles les plus dégradées, actuellement protégées par des échafaudages fermés afin de tenter de limiter les dommages. Les éléments non restaurés se dégradent chaque jour du fait des intempéries, des variations de température, des infiltrations d’eau. Il s’agira de rendre leur aspect d’origine à ces éléments fragilisés, reprendre les joints de chaux, recréer les enrochements manquants et sécuriser ceux restants, restaurer les structures métalliques qui ont été détériorées.
Sensible à l’intérêt patrimonial du site, la Région soutient la restauration du cheminement occidental en accordant une subvention de 80 000 euros au titre des travaux en cours.
Grâce à un partenariat avec la Fondation du patrimoine, une souscription est ouverte, qui permet aux particuliers de soutenir financièrement ce chantier. Les dons sont éligibles aux déductions fiscales.
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